lundi 6 octobre 2008

Marie-Claude Lorne

À la demande d'universitaires français il m'a été demandé de ne plus faire le rapprochement entre la tragique disparition de Marie-Claude Lorne et une critique du système universitaire français et donc de supprimer le message qui se trouvait ici.

Ceux-ci m'assurent par ailleurs qu'aucun dysfonctionnement n'était à déplorer dans cette triste affaire (comme dans aucune autre par ailleurs) et que toute la lumière serait faite sur ce cas.

J'ai le cœur gros à la disparition d'une amie dont je garde un souvenir vif, pleine de vie et de projets qui avait caressé le rêve de pouvoir enfin avoir le droit de faire le métier qu'elle aimait.
Je garde d'elle le souvenir de repas à la maison et de discussions sans fin, de sa culture et de la vivacité de son esprit qui ne pouvaient laisser indifférent ainsi que son rire si communicatif.

La dernière fois que nous avons discuté ensemble elle m'avait dit avoir l'impression d'être une Don Quichotte se battant contre des moulins. Une bourrasque l'aura emportée.