samedi 26 juillet 2008

Bonus Malus: l'écologie en question.

Le bonus malus a été mis en place par le gouvernement pour incité le consommateur à acheter des véhicules moins polluants en les favorisant à l'achat et en pénalisant les autres par une taxe. Cette méthode s'est avérée très efficace pour modifier le comportement des usagers et des consommateurs mais très périlleuse économiquement, ce qui a forcé le gouvernement à revoir sa copie et a étendre la taxe non seulement à l'achat mais à la durée de vie du véhicule.

Le gouvernement veut maintenant étendre cette pratique à d'autres produits, en particulier au logement.

Le parc de logement en France est assez ancien et souffre d'un manque criant d'isolation. Certaines études affirment que plus de la moitié des habitations seraient ainsi énergiphage. L'exécutif entend donc obligé les propriétaires à indiquer le bilant énergétique réel du logement lorsque celui-ci est proposé à la vente ou à la location et étudie la possibilité d'une taxe à la consommation pour les plus gourmands.

L'idée est belle est louable, mais elle ne correspond pas tout à fait à la réalité du terrain. D'une part le parc d'habitation est très déséquilibré dans sa répartition et son accès. Il ne faudrait pas oublier qu'en France en 2008 des personnes dorment dans le rue, et lorsque je parle de personnes je parles de centaines de personne rien à qu'à Paris. C'est un problème qu'il faut régler avant et indépendamment de la question de l'énergie ou bien avec la question de l'énergie, ce qui serait encore mieux mais beaucoup plus coûteux et compliqué que ne l'est le problème actuellement et qui n'est toujours pas réglé.

Ensuite, le parc immobilier n'est pas aussi flexible que le sont les produits industriels et manufacturés. Il est toujours possible d'arrêter ou de diminuer la production d'une voiture très polluante au profit d'une autre moins gourmande en restructurant la chaîne de production sans trop de difficulté et assez rapidement. Et s'il est possible d'imposer des normes plus strictes à la construction de nouveaux logements, il est très difficile de le faire pour ceux déjà existants.

Qui va payer cette taxe? Le locataire ou l'acheteur? Mais si cette taxe s'ajoute au prix cela ne rendra que plus difficile encore l'accès au logement, sans compter que cela se passe dans un contexte où les banques réduisent d'accès aux emprunts pour cause de difficultés de financement dans le domaine. Le risque est donc de gelé le problème plutôt que de le résoudre.

Si c'est au propriétaire de payer alors ou bien ce surcoût sera répercuté sur le prix et ramènera à la première possibilité ou bien certains propriétaires préféreront ne pas prendre le risque de la réfection et gèleront leur parc en attendant de le vendre en l'état pour une reconstruction ou un propriétaire plus fortuné. Un parc à deux vitesse risque donc de se mettre en place entre des nouveaux logements ou des logements refaits et plus chers et un parc plus ancien et mis en jachère. D'autant plus que le problème perdurera car des logements mal isolé continuent à polluer même non occupés en faisant des ponts et des trous thermiques.

Pour être efficace une telle mesure doit être radicale et se coupler à un vrai droit opposable au logement et à une taxation très importante sur les logements vides et vacants. Mais la contre partie évidemment et de se mettre à dos une série de spéculateurs, en particulier de banques, ce que les autorités rechigneront sans doute à faire.

L'idée en l'état d'un système de bonus malus pour le logement ne renforcera que les inégalités dans le domaine et accentuera la paupérisation et la précarité d'une classe moyenne jusque là encore épargnée mais fragilisée.

Ce qu'il faut c'est une politique forte de reconstruction totale du parc immobilier en France avec un plan de répartition de la consommation énergétique par capitalisation et mise en commun: développer le chauffage collectif, limiter les ponts thermiques, favoriser l'inertie de chaleur etc. dans des formes d'habitation où l'usage collectif des biens et des transports soient optimal. Cet notre mode de vie dans notre entier qu'il faut revoir, sinon cela ne sera qu'une mesurette qui intenable dans la durée se retournera contre nous.

L'écologie c'est bien mais il faut la penser de manière réaliste sans oublier que ce sont nos interactions avec l'environnement qu'il faut modifier et non pas nous ou l'environnement. Mais nous sommes parties de l'environnement, et ce sont par conséquent également les interactions inter-humaines qu'il faut revoir et optimiser.

En ce sens les SDF sont une pollution de notre système social et au lieux de vouloir les passer par dessus bord comme certains le préconisent, c'est le système entier qu'il faut ajuster pour que ce genre de situation n'arrive pas et plus. Or à ce jour la problématique de l'environnement ne couvre pas ces questions là et c'est en ce sens que les réponses apportées ne marcheront pas plus que les précédentes.

vendredi 25 juillet 2008

Comment vivre au présent et penser à l'avenir?

Le niveau de vie que nous connaissons actuellement n'a rien à voir avec celui de nos aïeux et c'est tant mieux. La moindre chambrée d'étudiant, ou presque, est mieux équipée maintenant que le château d'un notable d'il y a cinquante ans.

Mais tout c'est pas rose pour autant. L'économie reste le moteur de notre quotidien et à ses moindre sursaut ce sont des bons que nous faisons, et maintenant comme tout va plus vite et bien tout ce passe plus rapidement. C'est une lapalissade, certes, mais vraie, alors pourquoi se priver de la dire?

Un exemple simple, considérer les informations par exemple. Maintenant (enfin depuis une décennie maintenant) la presse écrite est devenue non plus mensuel ni hebdomadaire mais change plusieurs fois parLe niveau de vie que nous connaissons actuellement n'a rien à voir avec celui de nos aïeux et c'est tant mieux. La moindre chambrée d'étudiant, ou presque, est mieux équipée maintenant que le château d'un notable d'il y a cinquante ans.

Mais tout ce n’est pas rose pour autant. L'économie reste le moteur de notre quotidien et à ses moindres sursauts ce sont des bons que nous faisons, et maintenant comme tout va plus vite et bien tout ce passe plus rapidement. C'est une lapalissade, certes, mais vraie, alors pourquoi se priver de la dire?

Un exemple simple, considérer les informations par exemple. Maintenant (enfin depuis une décennie maintenant) la presse écrite est devenue non plus mensuelle ni hebdomadaire mais change plusieurs fois pas jour et tend à devenir instantanée. Les sites internet des quotidiens sont remis à jour plusieurs fois dans la journée et ces médias sont devenus aussi réactifs que la radio ou la télévision. C'est très bien, très pratique, mais la contre partie est que l'analyse devient plus difficile à faire et perd peu à peu du terrain, car l'analyse demande du temps et du recul.

Prendre le temps n'est pas qu'un slogan de paresseux, c'est aussi celui du sage.

Prenez un autre exemple. Imaginez que vous considérez que le climat et son dérèglement soit une préoccupation majeure qui doit être traitée le plus vite possible. La démarche est louable. Vous regardez rapidement autour de vous et vous constatez qu'il y a beaucoup de voitures très polluantes. Si le nombre des grosses cylindrées baissait alors la pollution diminuerait. C'est donc logiquement que vous proposez de favoriser l'achat de véhicules moins polluants en donnant un bonus à l'achat et pénalisez celui de voitures polluantes par un malus. Le raisonnement semble correct ainsi or il ne l'est pas. En effet vous influez sur un mode de consommation et donc sur une pratique qui perdurera alors même que le contexte initial aura changé, puisque vous espérez le changer. Au début donc vous aurez le résultat escompté mais très vite la balance va peser du côté des véhicules plus propre et donc vous allez dépenser plus que vous allez recevoir, à moins d'inciter l'achat de véhicules polluants pour financer les propres... ce qui va à l'encontre de la démarche. Vous vous rendez compte de la manœuvre après quelques mois et donc décidez de taxer les véhicules les plus polluants non pas uniquement à l'achat mais chaque année avec le renouveau de la vignette, ce qui ne fait qu'aggraver le cas... Non la seule solution est de taxer les véhicules sales et de ne pas favoriser outre mesure les véhicules propres, c'est le seul compromis qui ne nuit pas à l'économie du système et n'écrase pas l'industrie automobile non plus... Mais pour cela il faut réfléchir au moins à moyen terme et non pas à court terme.

Idem pour les 35 heures. Un invité à la télévision disait que c'était l'échec des 35 heures car si elles accordaient plus de temps les salaires ne suivaient pas et donc les gens ne profitaient pas plus de leurs temps libres. Certes, mais de-là à en tirer comme conclusion qu'il faut allonger le temps de travail il faut être très tordu. Le plus simple serait d'élever simplement les salaires. Certes cela paraît injuste, mais c'est cela qui relance l'économie et donc l'achat et donc la productivité. À produire plus sans pouvoir acheter plus, par manque de temps mais aussi et surtout parce qu'il n'est pas certain du tout que les salaires suivront, c'est à la consommation qu'on s'en prend, et donc au moteur de la société... Encore une mauvaise idée...

C'est essayer d'imaginer les conséquences à long terme de nos actions et décisions qu'il faut faire et non pas se limiter au temps présent de l'immédiateté. C'est une bien mauvaise compréhension du carpe diem, aux conséquences très fâcheuses.

Prendre le temps, prendre le temps, voilà le slogan qu'il faut répéter ad noseam, c'est le mal de notre temps, celui de ne pas savoir le prendre. jour et tend à devenir instantanée. Les sites internet des quotidiens sont remis à jour plusieurs fois dans la journée et ces média sont devenus aussi réactifs que la radio ou la télévision. C'est très bien, très pratique, mais la contre partie est que l'analyse devient plus difficile à faire et perd peu à peu du terrain, car l'analyse demande du temps et du recul.

Prendre le temps n'est pas qu'un slogan de paresseux, c'est aussi celui du sage.

Prenez un autre exemple. Imaginez que vous considérez que le climat et son dérèglement soit une préoccupation majeure qui doit être traitée le plus vite possible. La démarche est louable. Vous regardez rapidement autour de vous et vous constatez qu'il y a beaucoup de voitures très polluantes. Si le nombre des grosses cylindrées baissait alors la pollution diminuerait. C'est donc logiquement que vous proposez de favoriser l'achat de véhicules moins polluants en donnant un bonus à l'achat et pénalisez celui de voitures polluantes par un malus. Le raisonnement semble correct ainsi or il ne l'est pas. En effet vous influez sur un mode de consommation et donc sur une pratique qui perdurera alors même que le contexte initial aura changé, puisque vous espérez le changer. Au début donc vous aurez le résultat escompté mais très vite la balance va peser du côté des véhicules plus propre et donc vous allez dépenser plus que vous allez recevoir, à moins d'inciter l'achat de véhicules polluants pour financer les propres... ce qui va à l'encontre de la démarche. Vous vous rendez compte de la manœuvre après quelques mois et donc décidez de taxer les véhicules les plus polluants non pas uniquement à l'achat mais chaque année avec le renouveau de la vignette, ce qui ne fait qu'aggraver le cas... Non la seule solution est de taxer les véhicules sales et de ne pas favoriser outre mesure les véhicules propres, c'est le seul compromis qui ne nuit pas à l'économie du système et n'écrase pas l'industrie automobile non plus... Mais pour cela il faut réfléchir au moins à moyen terme et non pas à court terme.

Idem pour les 35 heures. Un invité à la télévision disait que c'était l'échec des 35 heures car si elles accordaient plus de temps les salaires ne suivaient pas et donc les gens ne profitaient pas plus de leurs temps libre. Certes, mais de là à en tirer comme conclusion qu'il faut allonger le temps de travail il faut être très tordus. Le plus simple serait d'élever simplement les salaires. Certes cela paraît injuste, mais c'est cela qui relance l'économie et donc l'achat et donc la productivité. À produire plus sans pouvoir acheter plus, par manque de temps mais aussi et surtout parce qu'il n'est pas certain du tout que les salaires suivront, c'est à la consommation qu'on s'en prend, et donc au moteur de la société... Encore une mauvaise idée...

C'est essayer d'imaginer les conséquences à long terme de nos actions et décisions qu'il faut faire et non pas se limiter au temps présent de l'immédiateté. C'est une bien mauvaise compréhension du carpe diem, aux conséquences très fâcheuses.

Prendre le temps, prendre le temps, voilà le slogan qu'il faut répéter ad noseam, c'est le mal de notre temps, celui de ne pas savoir le prendre.

jeudi 24 juillet 2008

Qu'est-ce qu'un emploi? Qu'est-ce qu'un travail?

Qu'est-ce qu'un emploi? Je pose la question naïvement et de manière quelque peu provocatrice, mais si je la pose c'est bien pour avoir une réponse, et en y réfléchissant un peu, la réponse n'est pas évidente.

En ouvrant la radio, la télévision ou en lisant le journal il n'est pas difficile de constater que l'emploi et le travail sont au centre de nos préoccupations, de manière directe ou non. Des cadres qui manifestes dans la rue voilà qui n'est pas banal et ils manifestent paradoxalement pour avoir du travail mais pas trop.

Depuis que la loi dite de modernisation du travail et entrée en application et qu'il est maintenant possible de déroger aux 35h, les annonces publiées sur le site de l'ANPE ont changé. Certaines offres demandent un BAC+5 et propose un emplois d'ouvrier qualifié à 40h par semaine pour 1600 euros sans oublier qu'une expérience de 2 ans au moins à un poste similaire est exigée. Et une offre comme celle-ci n'est pas isolée et ce de moins en moins.

Alors évidemment il y a le coup de la vie et le pouvoir d'achat: le prix du kilo de tomates (quoi qu'il baisse un peu ces derniers temps sur le marché) le loyer et les charges. Mais 1600 euros pour 40h après un BAC+5 en vaut-il vraiment la chandelle?

Rationnellement la question est compliquée: d'un côté il est vrai qu'il est nécessaire de participer à l'effort économique du pays et plus le PIB sera élevé plus le niveau de vie le sera, et plus pragmatiquement et prosaïquement il faut payer le loyer qui lui ne suit pas la même courbe que le kilo de tomates. En sommes la raison économique nous ordonne d'accepter un travail quel qu'il soit puis qu'un travail est déjà en soit “une offre raisonnable" comme dirait le gouvernement. Travailler plus. Point.
D'un autre côté, si l'on considère le problème d'un point de vue existentiel ou au regard du coût de la vie mais au sens littéral du terme, cela veut dire que le plus clair de notre existence va se passer à ne rien faire pour son propre développement mais se dévouer au PIB. Je ne dis pas qu'il ne faut pas y participer, loin de là et de toute manière le développement personnel ne peut se faire sans l'aide des autres et donc sans les aider en retour, mais jusqu'à quel point? Avons-nous tous la carrure d'une mère Théresa? Cela serait bien, mais allons!
Travailler plus pour gagner plus, voilà le slogan qui a mener l'exécutif au pouvoir, et le plus surprenant est qu'un tel slogan ait marché. La question qu'il faudrait poser est celle de “pourquoi gagner plus?", et j'espère que les réponses à cette question convergeraient pour dire qu'il faut gagner plus pour vivre mieux. Or ce n'est pas du tout ce que l'exécutif semblait et semble toujours d'ailleurs avoir en tête. Vivre mieux veut également dire se reposer, être moins stresser, prendre le temps de se détendre et de se cultiver, habiter un endroit calme, en harmonie avec l'environnement et créer. Or la première valeur est le temps. On le sait bien, même naïvement la peur la plus étouffante est celle de la mort, celle de n'avoir pas eu le temps de faire ce que l'on aurait aimer faire. Gagner plus, oui, mais de temps. Or comment gagner sur ce tableau si on vous propose de travailler plus sans gagner nécessairement plus d'argent (où gagne-t-on plus à être payer 1600 euros pour 40h?) et surtout perdre du temps?

La conséquence de la nouvelle loi de modernisation de l'économie sera simplement de faire baisser le taux de productivité horaire et donc le PIB en fin de course. Le travail n'est plus une fin en soi, quoi qu'heureusement ça ne semble pas être la conception majoritaire dans notre pays et certains pensent peut-être encore qu'ils auront une retraite dorée, où qu'avoir une grande maison est bien même si on passe plus de temps au bureau que dans son salon, ou bien simplement que d'avoir de l'argent c'est cool même si on n'a plus le temps de le dépenser...

Prochaine étape: l'ouverture des magasins le dimanche. En effet si maintenant les cadres doivent travailler 40 samedi dans l'année, quand vont-ils dépenser?

Quoi qu'il en soit je suis preneur de toute offre d'emploi, pour autant qu'elle soit raisonnable...

samedi 5 juillet 2008

Image fixe / image animée

Cela faisait quelque temps que je n'avais pas revu ma mère. Je me suis aperçu qu'elle avait changée de lunettes. Celles-ci lui vont bien, mais je me suis également rendu compte qu'elle ressemblaient étrangement, par leurs formes, à celle que portait ma grand-mère sur une ancienne photographie. Je me souviens que ces lunettes de grand-mères font vraiment lunettes de grand-mère sur ces photos en noir et blanc. Et pourtant, en jetant un coup d'œil dans la vitrine d'un opticien, non, elles sont bien encore au goût du jour.

Évidemment, entre le visage de ma mère et celui de ma grand-mère il y a de grandes différences. La plus frappante ici étant que ma mère est là devant moi alors que je n'ai qu'une photographie noir et blanc de ma grand-mère. Il y a la couleur ensuite contre le noir et blanc. Enfin il y a le mouvement, qui est liée à la première des différences. Il est étonnant de s'apercevoir combien un être vivant bouge même lorsqu'il reste immobile.
Sur la photographie ma grand-mère est figée dans un mouvement, elle se retourne, surprise par l'objectif, ce qui rend la pause particulièrement vivante et animée. Mais elle reste comme cela, en suspension dans l'espace et le temps, pétrifiée comme une statue de sel. Ma mère, en face de moi, ne cesse de bouger, même infimement mais elle bouge.

L'image fixe, comme la photographie, n'est pas nécessairement confinée dans l'instant. Il est possible d'impressionner une longue plage de temps sur un même espace et par cette accumulation donnée le sentiment de profondeur et de durée. Tout comme il est vrai que l'image animée, comme au cinéma par exemple, n'est pas nécessairement diluée dans la durée. Un instant peut être décomposée spatialement de manière beaucoup plus étendue qu'il ne l'est généralement perçu, ou au contraire accéléré. Je ne dis pas également que l'image animée saisie plus la vie que l'image fixe.

Il me semble cependant que sur une image fixe, la forme des lunettes de ma mère n'auraient fait la même impression que celles de la grand-mère. Un objet, une forme propre et individuelle devant d'autres formes. Dans une image animée les objets fixes n'ont pas le même statut ceux qui sont animés, ils ne se détachent pas de la même manière, ne rendent pas compte de la même présence.

Un portrait filmé de face en gros plan ou en plan rapproché, légèrement ralenti durant quelques minutes alors que le sujet ne change pas de position, par rapport à un portrait de ce même sujet dans les mêmes conditions mais en image fixe, quelque soit le temps de pause, doivent avoir des caractères extrêmement différents et finalement rendre compte de deux personnes totalement différentes, même si c'est une seule et même.

Ce sont là des intuitions, reste à passer à la pratique, ce que je m'en vais de ce pas faire.